elisa 600
La catégorie haut de gamme en matière de ventilation intensive.
elisa 600, ventilateur universel innovant, est conçu pour l’oxygénothérapie à haut débit, la ventilation invasive et non invasive dans tous les contextes hospitaliers et dans toutes les disciplines spécialisées.
L’interface utilisateur intelligente peut s’adapter individuellement à chaque exigence et aux normes internes. La technologie innovante, la simplicité d’utilisation et le système modulaire complet réduisent la complexité, évitent les erreurs d’utilisation et accompagnent l’utilisateur dans la thérapie respiratoire.
- Numéro d'article:
- ag-370600
Plus d’informations sur elisa 600.
À mi-chemin entre l’engagement financier et les possibilités de développement orientées vers l’avenir, elisa 600 est la plateforme de ventilation innovante du présent et du futur. Une architecture axée sur l’hygiène et les services, combinée à de multiples options, permet de répondre à presque tous les besoins.
Tentatives de réveil quotidiennes, syndrome de perfusion du propofol, évaluation neurologique rapide du patient ventilé en soins intensifs ou réduction de la psychose réactive brève – tout autant de motivations d’avoir recours aux anesthésiques volatils dans le cadre des soins intensifs. Nous avons décidé de relever ce défi et mis en place toute une stratégie pour la « sécurité et les performances essentielles pour les systèmes d’anesthésie ». Cela ne concerne pas seulement le fonctionnement sûr des ventilateurs de soins intensifs et les effets des gaz anesthésiques sur les matériaux du ventilateur de soins intensifs. La fonction Anesthésiques compense les résistances inspiratoires et expiratoires du système Anaesthetic Conserving Device (Sedaconda) et empêche ainsi un prolongement du temps d’expiration moyen, réduit le risque de trappage et garantit la précision de la mesure du volume.
En combinaison avec le capteur multigaz LeoLyzer, il est possible en option de mesurer et de surveiller de manière précise les gaz anesthésiques directement avec elisa.
À l’ère des formes de ventilation protectrices des poumons, l’efficacité de la ventilation peut être optimisée grâce à des mesures ciblées du rapport espace mort/volume courant. La capnographie en tant que représentation graphique de la concentration de CO2 expiratoire est un élément essentiel du monitorage au chevet du patient ventilé. La capnographie représente la cinétique du CO2 de manière non invasive et en temps réel. Elle permet, dans la routine quotidienne, d’identifier principalement l’intubation correcte et d’ajuster le volume minute respiratoire à appliquer. Cependant, la capnographie, en particulier sous sa forme volumétrique, qui n’est pas encore très répandue en milieu hospitalier, peut fournir des informations supplémentaires beaucoup plus étendues et particulièrement précieuses sur le plan clinique. Il s’agit notamment de la surveillance et de l’optimisation de la ventilation ainsi que de l’évaluation des échanges gazeux. L’équipe soignante obtient ainsi des paramètres cliniques pour la prise de décision au chevet du patient, qui ne pouvaient être obtenus jusqu’à présent que par des procédés plus complexes, plus invasifs et non automatisés.
La régulation automatique de la concentration d’oxygène inspiratoire sur la base de l’oxymétrie de pouls permet l’application d’oxygène conformément aux directives. Des concentrations en O2 élevées peuvent engendrer des événements inattendus. Le spectre va des réactions inflammatoires des voies respiratoires, des atélectasies de résorption, des crises convulsives jusqu’à l’augmentation de la mortalité hospitalière. Sous oxygénothérapie à haut débit et sous ventilation, la saturation en oxygène doit être surveillée de près et la concentration inspiratoire en oxygène doit être adaptée en permanence à la plage thérapeutique individuelle. LEOCLAC permet, sur la base de l’oxymétrie de pouls intégrée, d’adapter en continu la concentration inspiratoire en oxygène à la plage thérapeutique définie. Combinable avec la ventilation invasive ou non invasive ainsi que la thérapie à haut débit, LEOCLAC évalue en permanence la qualité de l’onde de pouls et détecte d’éventuels artefacts. Différentes tailles et différents modèles de capteurs SpO2 sont disponibles pour LEOCLAC. Fréquence cardiaque, saturation en oxygène et courbe de pléthysmographie peuvent être surveillées indépendamment par LEOCLAC. Un graphique intelligent facilite l’évaluation de la régulation FiO2.
Il est avéré que l’affaissement et la réouverture des zones pulmonaires synchrones avec la ventilation chez les patients souffrant de SDRA endommagent considérablement le tissu pulmonaire du patient. En particulier, l’ouverture et la fermeture synchrones avec la ventilation (alveolar cycling) des zones pulmonaires représentent un facteur de risque indépendant de mortalité accrue. Le PEEPfinder peut être utilisé à des fins d’optimisation des réglages du ventilateur et assiste ainsi la ventilation protectrice des poumons. La manœuvre est réalisée dans une fenêtre sûre et peut être combinée avec une fonction de préoxygénation. Le P/V Tool quasi statique étendu assiste l’utilisateur pour l’évaluation du stress. Des algorithmes intelligents et des fonctions de sécurité complètes permettent de déterminer facilement les propriétés élastiques du poumon. Pour ce faire, de vastes possibilités d’évaluation sont disponibles. Un support d’évaluation graphique à des fins de détection des points d’inflexion, la collecte d’indices de stress et jusqu’à dix possibilités d’enregistrement des boucles de référence simplifient une mise en oeuvre aisée de la ventilation.
Une ventilation protectrice des poumons diminue les complications associées à la ventilation, notamment en réduisant la charge de pression et volumique mécaniques es poumons sur les poumons. Les connaissances accumulées au cours des dernières années ont prouvé qu’une ventilation protectrice des poumons n’est possible qu’en adaptant régulièrement les réglages du ventilateur à la fonction pulmonaire individuelle. Mais que se passe-t-il si les prescriptions classiques de la ventilation protectrice des poumons ne peuvent plus être respectées ?
L’adaptation de la thérapie de ventilation reposant sur la mesure de la pression transpulmonaire est une méthode simple, peu invasive et valide qui nécessite uniquement la mise en place d’une sonde gastrique modifiée . Les changements de pression œsophagienne pendant un cycle respiratoire reflètent en effet les changements de la pression pleurale. En tant que différence entre la pression ventilatoire et la pression pleurale, la situation de pression transpulmonaire indique l’ampleur du stress mécanique exercé sur les alvéoles, responsable par conséquent des lésions pulmonaires associées à la ventilation. La pression de plateau inspiratoire réglée sur la turbine joue plutôt un rôle secondaire. Des études ont montré qu’en raison de la variabilité importante du rapport d’élasticité des poumons au thorax, une pression de plateau inspiratoire réglée sur le ventilateur entraînait des gradients de pression transpulmonaire très différents. Chez les patients présentant une pression pleurale élevée, par exemple en raison d’une pression intra-abdominale élevée, la même pression inspiratoire peut être atteinte avec moins de lésions pulmonaires associées à la ventilation que chez les patients présentant une pression pleurale basse. La pression transpulmonaire expiratoire (TPP exsp) peut alors être ajustée en titrant la PEP appliquée, car la pression des voies aériennes est liée à la PEEP appliquée. Contrairement aux autres méthodes de détection de la PEP individuelle, cette méthode peut également être utilisée en respiration spontanée et au cours du sevrage. Toujours au cours du sevrage, la mesure de la pression œsophagienne peut fournir des informations précieuses (démasquage d’une asynchronie patient-respirateur, monitorage de l’effort des muscles respiratoires, calcul de la PEP intrinsèque en respiration spontanée, etc.) et permet d’optimiser le processus de sevrage. Dans ce contexte, il est possible de déterminer le travail respiratoire du patient sous respiration spontanée assistée en situation aiguë, de sorte que l’assistance nécessaire au patient peut être directement adaptée à la fonction pulmonaire respective au moyen d’une assistance par pression.
Product features
Oxygénothérapie à haut débit
Dans le cadre de l’oxygénothérapie à haut débit, un débit relativement élevé de gaz inspiratoire réchauffé et humidifié est distribué via une canule nasale. Selon l’indication et la localisation, le gaz inspiratoire est de l’air, un mélange air-oxygène ou de l’oxygène pur. En conséquence, les effets de cette thérapie sont évidents dans l’élimination du CO2 de l’espace mort anatomique avec une réduction du travail respiratoire et une oxygénation améliorée. En raison de l’architecture système de la série elisa, le système de tuyaux n’a pas besoin d’être remplacé lors de la commutation entre HFOT et ventilation non invasive ou invasive. L’oxygénothérapie à haut débit fait partie de l’équipement de base de chaque ventilateur de la famille elisa.
Ventilation non invasive
Une technique de régulation innovante et des algorithmes spéciaux permettent une compensation complète des fuites. Le Byflow réglable et compensé par les fuites réduit la réinspiration de CO2 dans les masques bouche-nez et garantit le confort de déclenchement par le patient. Les modes de ventilation spéciaux et les temporisations réglables pour les alarmes sonores réduisent les alarmes stressantes, même dans des conditions anatomiques difficiles et en cas de fuites importantes. En cas d’utilisation à long terme ou de lésions cutanées existantes, la possibilité de ventilation par casque offre une autre option non invasive et évite ainsi l’intubation et la ventilation invasive. La ventilation non invasive est un équipement de base de tous les ventilateurs de la famille elisa.